Ce proverbe illustre une réalité souvent observée dans les dynamiques de pouvoir et de compétition. Il montre que, lorsqu’il y a un conflit ou une confrontation entre deux parties, les observateurs ont tendance à se ranger du côté de la partie jugée la plus forte ou ayant le plus de chances de l’emporter. Cela peut s’expliquer par le désir de sécurité, par l’opportunisme ou par la crainte de représailles. En politique, dans les affaires ou même dans les relations interpersonnelles, cette dynamique peut se manifester lorsque les individus préfèrent favoriser le plus puissant plutôt que de se battre pour la justice ou la vérité. En résumé, ce proverbe prévient contre la tendance humaine à préférer suivre la force que de soutenir la justice.