Ce proverbe malgache souligne l’importance de se corriger soi-même avant de tenter de corriger les autres. En effet, il n’est pas juste de vouloir améliorer les défauts des autres si nous ne nous sommes pas attaqués à nos propres imperfections. Ce proverbe rejoint l’adage français “Charité bien ordonnée commence par soi-même”. Une personne doit d’abord s’assurer de sa propre morale et conduite avant de chercher à influencer ou améliorer celles des autres.