Ce proverbe Merina illustre la notion de priorités et de choix judicieux dans des situations où les ressources sont limitées. L’idée est que parfois, il vaut mieux se contenter de petites choses essentielles comme une pincée de sel, qui peut rehausser la saveur de repas simples, plutôt que de chercher quelque chose de plus clinquant mais peut-être moins utile, comme un beau vêtement. Cela nous enseigne l’importance de la sagesse et de la modération dans nos choix matériels. L’équivalent français pourrait être ‘Il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres’.