Akangan’i Tsihoaña: Omban’ny Tômpony Hömaña.

Ce proverbe met en lumière comment les actions ou les échecs des uns peuvent affecter aussi ceux qui les entourent. La pintade de Tsihoaña, qui est accompagnée de son maître pour être mangée, symbolise l’idée que la souffrance ou le malheur ne sont pas isolés. En français, on pourrait dire ‘Quand la maison brûle, c’est le maître qui souffre le plus’. Cela nous enseigne à reconnaître que les conséquences de nos actes peuvent s’étendre au-delà de nous-mêmes.

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