Adin'akoho Votrom-Bato Ny Resy Torotoro Ny Maharesy Disadisaka
Ce proverbe compare la querelle humaine à celle des coqs utilisant des cailloux pour se battre. En fin de compte, même le gagnant ne ressort pas indemne, bien que le perdant soit en morceaux. Il s’agit d’une métaphore pour dire que dans les disputes et les conflits, personne n’en sort véritablement gagnant. Ce proverbe met en lumière les conséquences néfastes de la haine et la discorde, insistant sur le fait que même les vainqueurs en sortent souvent blessés. On retrouve une pensée similaire avec le proverbe français : « À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire » ou toute forme de conflits a souvent un coût pour les deux parties.
Similaires
- Toy Ny Adin'ny Mpivady: Ny Tokoam-Bary Aza Iadiana.
- Ondry: Manao Katro-Doha, Amboa: Mifanaikitra, Saka: Mifandrangotra, Samy Ady Fa Tsy Mitovy.
- Adin'akoholahy Vorombato; Ny Mahery Disadisaka Ary Ny Resy Torotoro.
- Hianala Mahay, Ary Hiankova Mahay; Manao Hovalahy Mampiady Andriana.
- Adin-Kisoa, Ka Samy Mandoa Vory Ihany, Na Ny Resy Na Ny Mahery.
- Tsy Tia Maro Toa Mpamosavy